C Ma nature / Juillet à Août 2016

Plaine de Balizy(91)

Une fauvette à tête noire femelle ou juvénile (d'où la tête tout sauf noire !) :





Mésange à longue queue (mal coiffée)



Voiture balai du club de VTT de la Vile du bois (91) après le feu d'artifice.




Sortie à l'Espace Rambouillet (78)

Démonstration d'entraînement de faucon lanier à la chasse :




Démonstration de buse à queue rousse :




Démonstration d'aigle royal :


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Hibou et chouette lapone :


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Séjour en Vanoise, secteurs Champagny et Pralognan (73)

Très beau temps fin juillet-début août, on randonne presque tous les jours, souvent au petit matin.

La fonte des neiges est très tardive cette année.

Selon un technicien de l'ONF, la plupart des espèces animales prolifèrent, exception faite du chamois. En effet, les rares specimens vus cette année étaient pour la plupart seuls, alors que nous avons l'habitude de les voir en hardes. De même, nous avons vu peu de grands rapaces, notamment d'aigles royaux alors que nous avons l'habitude de les voir fréquement sur ce secteur. En revanche nous avons eu la chance de voir 2 hermines chasse, deux belettes, et une vipère aspic. A noter la rencontre quasi-quotidienne d'un ou deux renards, sur la route, lors de nos départs nocturnes, que ce soit sur Champagny, sur Pralognan ou sur Méribel.

Sortie au Lac Blanc, proche du refuge de Péclet-Polset

Statistiques : 16.9 kms, D +965m (1675-2534), 5h17 dont 4h04 de marche.

Petite mise en jambes.



Rapace vu - trop peu de temps - au-dessus des lacs des eaux noires, et parti en direction du Col des fonds. Mais quelle espèce de rapace ? Vautour fauve ? Il y a, paraît-il, un nichoir à vautours à Méribel, de l'autre côté de la montagne.



Sortie au Lac de la Glière (secteur Laisonnay)

Statistiques : 12.6 kms, D +590m (1559-2132), 5h25 dont 3h38 de marche.

Toujours plein de marmottes tout du long de l'escapade.



Sortie dans le Bois du Frumier (secteur Tour du Merle)

Statistiques : 9.0 kms, D +555m (1192-1703), 2h57 dont 2h18 de marche.

RAS si ce n'est deux drôles d'arbres.

Bonzaï



Siamois





Sortie au Col de Plan-Séry (secteur Laisonnay).

Statistiques : 14.7 kms, D +1140m (1566-2623), 8h00 dont 4h50 de marche.

Cette sortie commence par une ascension un peu difficile, à froid, le long de la cascade du Py, avec environ 500m de dénivelé à effectuer sur une distance de 2,5 km (pente à 20% en restant sur le sentier, c'est dire la pente en allant au plus court ...

Puis l'ascension devient plus facile jusqu'au refuge de Plaisance, et même jusqu'au Col de Plan-Séry auquel on accède par une succession de plateaux et grimpettes pas trop longues. Un petit groupe de bouquetins nous surplombe, comme souvent, au lieu dit Les Esseyrieux.

Le Col de Plan-Séry est quant à lui relativement enneigé cette année.





Le pire est à venir, la descente de la cascade du Py : si la montée est fastidieuse, la descente, sans grand intérêt, pénible car elle use les pieds.

Sortie à la Crête des Echines (secteur Laisonnay).

Statistiques : 21.2 kms, D +1230m (1551-2613), 5h01 dont 6h39 de marche.

Très belle vue sur l'Epena et les montagnes avoisinantes. Malgré l'heure matinale seul 1 chamois a été repéré.











Sortie "bouquetins" au Golet de la Vallaisonnay, ascension de la Pointe des Chardes (secteur Le Bois).

Statistiques : 12.3 kms, D +1450m (1471-2911), 7h45 dont 4h38 de marche.

Montée difficile, longue et pentue avec peu de moments de répis. Deux cabris s'enfuient à notre arrivée. Sur la crête séparant le Golet de la Vallaisonnay du Creux de la Laisille des groupes de bouquetins et d'étagnes nous attendent. Si les étagnes restent cachées, les bouquetins se contentent de maintenir les distances à 15-20 mètres. La crête côté Laisille est enneigée cette année, et, à défaut de voir un troupeau regroupé (bouquetins ou étagnes) comme par le passé, nous avons le plaisir de voir les bouquetins évoluer sur la neige, et de faire une petite sieste à leur côté.





















L'ascension de la Pointe des Chardes n'est qu'une simple formalité à côté de ce qui a précédé (~15 minutes), cependant les dernières dizaines de mètres sont plus délicates et un pied agile est recommandé.



Petite vidéo des bouquetins au Golet de la Vallaisonnay:

A noter notre première vipère aspic, d'une vingtaine de centimètres, enroulée sur elle même, marron-vert avec des triangles noirs, dans les alpages sous le golet. Elle a vite réintégré son trou à notre passage (pas de cliché).

Petite halte à la redescente pour acheter du Beaufort à l'Alpage de Lécheron.

Sortie au Col du Soufre (secteur refuge de Péclet-Polset), avec ascension du Grand-Infernet, retour par les lacs des eaux noires.

Statistiques : 21.6 kms, D +1475m (1742-2844), 8h00 dont 5h33 de marche.

Départ à la fraiche dans le brouillard, mais les prévisions météorologiques sont toutes bonnes, et la visibilité de 200 à 300 m. Mais en montant la visibilité baisse (jusqu'à ~100m), mais avec de belles trouées. La veille il a plu, beaucoup plu. Je "réveille" un chevreuil dans le raccourci menant des ruines de la Rama au Lac Blanc.

Arrivé en haut (~2.700m) je m'attaque tout d'abord au Grand-Infernet par le sud-ouest, mais la terre a tendance à se dérober, et je crains que la descente ne soit très périlleuse. Aussi je préfère renoncer.



Je m'attaque alors au Col du Soufre, puis en exploration en direction du refuge du Saut (Méribel), mais, au bout de quelques centaines de mètres, mon pied s'enfonce dans une espèce de boue ocre (intempéries de la veille ?). Là encore je préfère en rester là, mais c'est dommage, l'objectif était de contourner le Roc du Soufre pour tenter d'accéder au Grand-Infernet par le nord.



Avant de redescendre, je monte sur les hauteurs au-dessus des lacs sans noms. Lors de cette mini-exploration un petit bolide démarre très proche de mois, puis court, vole, de rocher en rocher, s'arrête quelques secondes, repart. L'animal, brun clair, doit faire une quinzaine de cms, avec une petite queue. J'essaie de sortir l'appareil du sac à dos sans le perdre des yeux. Il est déjà loin (~50 m). Je serai finalement bredouille. Il s'agissait vraisemblablement d'une belette.

En redescendant en direction du Lac Blanc, surprise, je devine de grandes cornes en direction des Lacs des eaux noires, à la même altitude que moi. Je decide donc d'aller voir cela de plus près ... Deux groupes de bouquetins paissent à proximité des lacs, tandis qu'au moins trois étagnes sont sur les hauteurs (Roc de Chavières ?).


A ma grande surprise, je vois un chamois - seul - dans le cirque et monter, à mon arrivée, en direction du Col des fonds.




Je contourne les lacs pour arriver au Petit Lac des Eaux-Noires où je surprend un jeune cabri.


Puis je redescend sur le GR 55 - mauvaise idée - par le sud-est des lacs, c.a.d. le long de la cascade. Que ce soit à droite ou à gauche de la cascade c'est une mauvaise idée, j'ai testé les deux voies. La seule voie raisonnable d'accès aux lacs des eaux noires est, me semble-t-il, via en quittant le GR 55 au-dessus du Lac Blanc à l'altitude 2.540m environ, au niveau d'un cours d'eau, et de tirer au mieux au nord-est en direction des lacs.

Sortie au delà du Lac de la Glière, vers le doron de Prémou (secteur Laisonnay)

Statistiques : 13.0 kms, D +630m (1556-2180), 3h37 dont 3h04 de marche.

RAS, si ce n'est la belle peluche ci-dessous au-dessus du lac asséché de la Glière.



Sortie Crépuscule, guidée, secteur Plan du Bos

Statistiques : 9.0 kms, D +515m (1736-2243), 5h00 dont 2h38 de marche.

Le soir même visite guidée avec un accompagnateur de l'ONF au secteur Plan du Bos, sur Pralognan, notre groupe étant composé de 12 personnes. Objectif annoncé : chevreuils, cervidés, chamois, aigles.

Ca commence moyen, une marmotte déclenche l'alerte à Montaimont, et certaines personnes s'en extasient et ne l'auraient pas vu sans l'aide de l'accompagnateur. Pourtant c'est pas ça qui manque dans la région. Bon, sympa, elle pose, et finalement la halte n'aura durée que quelques minutes. Et on attaque l'ascension.

Pari gagné : l'oeil expert de l'accompagnateur repérera un chamois, dans une clairière, à 2.000 m !

Puis, un peu plus bas, nous observerons un groupe de 5 biches dans une clairière aux fleurs hautes et variées, et, furtivement, un chevreuil et, dans les hauteurs, un autre chamois.





L'accompagnateur semblait déçu, esperait voir davantage de cervidés et chevreuils. Peut être faisait-on trop de bruit (discussions) et avions nous le tort de ne pas nous assoir comme l'accompagnateur.





Sortie au Lac de la Vanoise (secteur Fontannettes)

Statistiques : 12,8 kms, D +660m (2006-2548), 5h58 dont 4h03 de marche.

Départ aussi tôt que possible du Refuge des Barmettes. Le chemin n'est pas trop agréable en raison des nombreuses pierres de toutes tailles.

La surprise de la journée, des étagnes sont au-dessus du Lac Rond, et la seule harde (3 !!!) de chamois vue du séjour au-dessus du Lac du Col de la Vanoise.









Sortie aux Lacs du Mont Coua (secteur Méribel/Réserve naturelle du Plan de Tueda)

Statistiques : 25,4 kms, D +1230m (1691-2797), 8h42 dont 6h28 de marche.

Départ très matinal pour une longue sortie allant du parking de la Réserve Naturelle du Plan de Tueda aux lacs du Mont Coua, voire plus loin (Col des Fonds) si le physique le permet. Donc un total approchant 25 kms pour 1.500m de dénivelé. Ce parcours est plébiscité sur le web, à ne pas manquer !

Sur la route, comme bien souvent, nous croisons un renard.



D'emblée c'est effectivement sympa, une belle forêt de cônifères, le chemin le long du doron des Allues, une alternance de petites côtes et de plateau permettant de récupérer, contrairement à d'autres sorties telles que le Golet de la Vallaisonnay. Le plateau le long des chalets de La Plagne présente cependant moins d'intérêt.

Peu après le refuge du Saut, une hermine nous fait le plaisir de chasser sous nos yeux pendant une bonne minute. C'est mignon comme tout, hyper-speed, très aérien, ça vole de rocher en rocher, s'arrête quelques instants puis reprend sa chasse. Peu de temps pour réagir, les quelques clichés pris sont malheureusement flous.













Nous poursuivons l'ascension et quittons le sentier balisé au niveau d'une passerelle sur le doron des Allues, à destination du Col du Soufre et tirons à l'est en direction du Mont Coua. L'ascension se fait sans difficulté, avec un tout petit lac à mi-hauteur. Puis nous arrivons aux premiers lacs, vers 2.600m, en zone herbeuse. Ces lacs ne semblent pas être en relation directe avec ceux du dessus.



Nous reprenons l'ascension, légèrement aérienne par moments, et arrivons au Lac du Mont Coua (le principal), puis continuons. A 2.800m d'altitude, la neige devient très présente, le cinquième lac est d'ailleurs partiellement enneigé, de même que l'accès au Col Rouge et le Passage des Eaux-Noires.







Vidéo du 5ème lac du Mont Coua:

Ces heures de marche, celles à venir, et une météo orageuse à venir nous incitent, malgré le beau temps, à ne pas traverser le Passage des Eaux-Noires à destination du Col des Fonds, pourtant plus très loin (30 à 45 minutes de marche).

Après un bon pique-nique au bord du Lac du Mont Coua nous redescendons à destination du parking. Le retour est limite interminable, surtout à partir du refuge du Saut, mais nous ne regrettons pas cette sortie qui est effectivement à faire.

Vidéo du 5ème lac du Mont Coua:

Vidéo du Lac du Mont Coua :

Sortie "bouquetins" au Creux de la Laisille (secteur Laisonnay)

Statistiques : 11,3 kms, D +1140m (1562-2627), 6h08 dont 3h52 de marche.

Départ à la fraîche en vue de voir des bouquetins - qui sait ? - le troupeau, avant qu'ils ne montent. Nous croisons les premiers d'entre-eux sous la Pointe des Chardes, vers 2500m d'altitude. Le moins farouche, qui ne fuit pas mollement comme les autres, a ses deux cornes cassées.







Nous poursuivons l'ascension, en direction du cirque situé sous le Becqui Rouge : la Laisille est en grande partie sous la neige, de même que la partie inférieure du cirque. Les bouquetins sont par petits groupes, semblent venir du Golet de la Vallaisonnay, longer le cirque vers l'est, sous le Becqui Rouge, et aller en direction des hauteurs au-dessus du petit lac sans nom. D'autres viennent d'où nous étions, sous la Pointe des Chardes, pour aller vers le même endroit.





Nous montons alors en direction du petit lac sans nom. De jeunes bouquetins prennent peur et s'enfuient dans les hauteurs.



Petite sieste au creux de la Laisille.



Lors de notre descente, nous aurons le plaisir d'être à notre tours observés par un gypaète barbu, vautour mangeur d'os actuellement en cours de réintroduction en France. Après nous avoir regardé de près pendant quelques minutes il semble à la recherche d'ossements de part et d'autres de la Pointe des Chardes.

















Sortie au Lacs des Eaux-Noires, proche du refuge de Péclet-Polset

Statistiques : 17,8 kms, D +975m (1693-2659), 6h17 dont 4h45 de marche.

Départ peu matinal, avec pour objectif de profiter de la beauté du coin et, si possible, d'y voir des bêtes à cornes et surtout de gros rapaces type aigle royal.

Retour quasi-bredouille, animé heureusement par une belette qui traverse en courant le pont de l'alpage de Ritord juste devant nous, et par un circaète Jean-le-Blanc (aigle se nourrissant principalement de serpents et autres reptiles) à l'affut en approchant du refuge du Pont de la Pêche.





Sortie au Col d'Aussois, ascension de la Pointe de l'Observatoire

Statistiques : 16,5 kms, D +1290m (1755-3015), 6h37 dont 4h43 de marche.

Départ matinal pour finir en beauté avec l'ascension de la Pointe de l'Observatoire. Sortie avec dénivelé conséquent mais qui se fait bien car les parties à dénivelé alternent avec des plateaux. Les 20 premières minutes (parking au refuge du Pont de la Pêche) sont néanmoins un peu rudes (pente importante). Nous partons avec pour idée de revenir par les cirques d'Ariande et du Génépi (surcroît fr dénivelé d'environ 300m).

En arrivant sur l'alpage de Ritord nous appercevons un couple de chamois au niveau du cirque d'Ariande. Puis, au niveau des balcons d'Ariande, nous observons un chamois solitaire peu farouche, qui mettra du temps, à notre approche, à monter en direction de la Pointe de Rosoire.

L'ascension se poursuit, et, au pied de la dernière grimpette pour atteindre le Col d'Aussois (sous la Pointe de Rosoire), nous appercevons à nouveau un chamois solitaire et peu farouche. C'est la première fois que nous en voyons là.





Arrivés au Col d'Aussois, nous entreprenons l'ascension de la Pointe de l'Observatoire, en laissant au col un bouquetin qui part faire sa sieste. Les dernières dizaines de mètres d'ascension sont de l'alpinisme facile, mais requièrent pied agile et absence de vertige. La vue depuis la pointe est à couper le souffle : panorama à 360°, avec vue sur le Mont Blanc, la Pointe de l'Echelle, la Barre des Ecrins, et le vide sous nos pieds lorsque l'on regarde la vallée de Chavière.

En descendant de la Pointe de l'Echelle nous avons tout de suite le plaisir de voir une hermine chasser. Elle arrivera en bas de la pointe bien avant nous !













Descente sans encombres, mais pas par les cirques d'Ariande et du Génépi, un peu fatigués et petites douleurs aux genoux ...

Sortie au Zoo de Beauval (41)

La nouveauté de l'année, le bassin vitré à hippopotames. Seul regret, les reflets. A noter le pied blanc de l'animal.



Le spectacle d'oiseaux, toujours aussi beau.





Un okapi.



Chasse au martin-pêcheur aux Lacs de l'Essonne (91)

Objectif du jour : shooter un martin-pêcheur. Objectif pas facile, cet oiseau se déplace très rapidement à un mètre de l'eau, n'est visible que lors de sa pêche, reste peu de temps en place lorsqu'il est à l'affut, et n'est pas très fréquent.

Après une brève reconnaissance mardi dernier en plein cagnard d'un site potentiel aux lacs de l'Essonne, et y avoir apperçu un martin-pêcheur, j'arrive vers 8h et me poste à l'affut de ma cible du jour. Au bout d'une vingtaine de minutes, au loin, ce qui est probablement un héron pourpré prend son envol.



Vers 8h45 (c.a.d. 2h après le lever de soleil) ma patience est récompensée, un martin-pêcheur vient se poser sur un poteau et entame sa partie de chassepêche. Il reste peu en place, le temps d'appercevoir une proie, de plonger et l'attraper, de se remettre sur un poteau, ... La scène dure quelques minutes à une distance d'une cinquantaine de mètres.

Quelques photos du volatile à l'affut :











Avec une (petite) proie dans le bec :



Scène de pêche :







Autres clichés du martin-pêcheur en action :







Sterne de retour du marché :



A identifier :



Chasse au martin-pêcheur aux Lacs de l'Essonne (91)

Pas complétement satisfait des résultats de l'avant-veille, je retourne à l'affut du martin-pêcheur, aux mêmes horaires. Météo moyennement favorable, comme l'avant-veille. Objectif : essayer de grapiller quelques mètres.

En fait les berges sont (volontairement) peu entretenues, d'où de très nombreux obstacles feuillus, et des arbustes à l'extrémité de la berge sur laquelle je suis ... Bref, pas moyen de se rapprocher car le champ de vision est alors très restreint. Je reste donc en retrait, un peu en hauteur au-dessus des branchages, mais un peu éloigné. Je cale mon appareil sur 1/3000ème avant de descender en ISO pour améliorer la qualité des clichés.

En arrivant je dérange à nouveau le héron pourpré ... Il faudra que je repasse armé !

Le martin-pêcheur passe ... mais ne reste pas. Puis, arrivant de derrière, il me nargue en me frôlant (~3 m).

Le temps passe, des perruches à collier me cassent les oreilles, je contemple des cygnes voler, c'est l'heure du repas pour de nombreux oiseaux marins.



Et j'apperçois, sur un poteau, le martin-pêcheur à l'affut ... Pan pan pan !











Il repart, puis reviendra. Ou plutôt reviendra en couple. Ils se posteront tous les 2 sur des poteaux voisins, chasseront peu, et m'offriront quelques parades. La scène durera, comme à chaque fois,quelques toutes petites minutes.

Parade n° 1:







Petite collation :



Parade n° 2:









Fini de jouer, on rentre. Snif.





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